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Féminicides par compagnons ou ex publiés en juillet 2023

 Lundi 31 juillet à Paris (10ème), Djeneba Savane (38 ans) a été poignardée à mort par son conjoint (51 ans), à son domicile.
L'homme s'est présenté de lui-même au commissariat pour avouer son crime.

Il a été placé en garde à vue. 
Une enquête pour "homicide volontaire aggravé commis par conjoint" a été ouverte.

Djeneba était mère de plusieurs enfants. Originaire de Côte d'Ivoire, elle travaillait depuis décembre 2020 dans une entreprise de recyclage en tant que Collectrice/Chauffeuse après avoir occupé plusieurs postes dans la logistique. Unique femme dans une équipe composée d'une vingtaine d'hommes, Djeneba avait su rapidement gagner la confiance de ses collègues et clients. Travailleuse, courageuse et déterminée, elle était ravie de pouvoir exercer  un métier qui a du sens pour notre environnement.

63. Djeneba

Poignardée à mort

Lundi 31 juillet à Paris (10ème), Djeneba Savane (38 ans) a été poignardée à mort par son conjoint (51 ans), à son domicile.
L'homme s'est présenté de lui-même au commissariat pour avouer son crime.
Il a été placé en garde à vue.

Samedi 22 juillet à Haubourdin (Nord),  Madouda Laib (38 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (37 ans) à leur domicile.C'est au hasard d'un contrôle routier, ce lundi 24 juillet à Lille, que les policiers vont découvrir ce #féminicide 
Prenant tous les risques, l'homme a refusé d’obtempérer avant de renverser un agent et prendre la fuite en voiture. Il finira par être maîtrisé et interpellé sur la commune voisine de Loos. Lorsque les forces de l'ordre ont constaté que le véhicule appartenait à sa compagne, l'homme a alors déclaré avoir "tué sa conjointe à coups de couteau il y a 2 jours".
Au domicile du couple, les policiers ont découvert le corps sans vie de la victime. Son compagnon a été placé en garde à vue.

62. Madouda

Poignardée à mort

Samedi 22 juillet à Haubourdin (Nord), Madouda Laib (38 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (37 ans) à leur domicile.C'est au hasard d'un contrôle routier, ce lundi 24 juillet à Lille, que les policiers vont découvrir ce #féminicide
Prenant tous les risques, l'homme a refusé d’obtempérer avant de renverser un agent et prendre la fuite en voiture. Il finira par être maîtrisé et interpellé sur la commune voisine de Loos. Lorsque les forces de l'ordre ont constaté que le véhicule appartenait à sa compagne, l'homme a alors déclaré avoir "tué sa conjointe à coups de couteau il y a 2 jours".

Dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 juillet à Grigny (Essonne), Armelle dite Deo (44 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son ex-compagnon (47 ans) au domicile de celui-ci. Son corps a été découvert, ce samedi, dans le congélateur de l'appartement lors d'une perquisition. L'homme avait été arrêté la veille alors qu'il était muni d'une arme de poing et avait des tâches de sang sur ses vêtements.  

Inquiet de ne pas avoir de réponse à ses appels le vendredi, le fils de la victime s'était rendu au domicile de l'ex-compagnon. Armelle dite Deo avait récemment rompu avec cet homme. Face au comportement agressif de celui-ci, le fils avait alerté la police. Immédiatement, les enquêteurs avaient ouvert une enquête pour "enlèvement et séquestration", celle-ci a depuis été requalifiée en "homicide par conjoint" #féminicide 

Dimanche 23 juillet, l'ex-compagnon a été présenté, ainsi qu’une amie à lui, à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen. Le parquet a requis leur placement en détention provisoire.

Armelle dite Deo était mère de 3 enfants et AESH auprès d'élèves en situation de handicap au sein des écoles élémentaires Jules-Vernes et Roland-Cassier dans la commune voisine de Viry-Chatillon.

61. Armelle dite Deo

Abattue avec une arme à feu

Dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 juillet à Grigny (Essonne), une femme (44 ans) a été tuée par son ex-compagnon (47 ans) au domicile de celui-ci. Son corps a été découvert, ce samedi, dans le congélateur de l'appartement lors d'une perquisition. L'homme avait été arrêté la veille alors qu'il était muni d'une arme de poing et avait des tâches de sang sur ses vêtements.

Vendredi 21 juillet à Franconville (Val-d'Oise), Hadjira Bouafia (45 ans) a été poignardée à mort par son mari (51 ans) à leur domicile. L'homme a ensuite tenté de se suicider en ingérant des médicaments. Les 2 enfants en bas-âge du couple (2 ans et 3 ans 1/2 ) étaient présents dans l'appartement au moment des faits. 

C'est le frère de la victime, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, qui a prévenu les secours. Grièvement blessée, elle était décédée à l'arrivée des secours après avoir reçu "plusieurs coups de couteau au niveau du thorax" tandis que son meurtrier a été hospitalisé.

Le parquet précise qu'une enquête pour "homicide par conjoint" est ouverte #féminicide Il précise également que le couple "s'était séparé mais avait repris une vie commune depuis plusieurs mois".

La victime avait déjà porté plainte contre son conjoint en janvier 2023 pour des violences conjugales répétées, elle décrivait son mari comme un individu "violent et jaloux" qui la "rabaissait avec des insultes, des crachats et des gestes violents." La victime avait été en outre séquestrée par sa belle-famille pendant des mois.
Le 2 mai, la justice lui a refusé une ordonnance de protection, le tribunal invoque "l’absence de violences et de danger actuel vraisemblables".
Son mari utilisait également les enfants comme moyen de pression pour la contraindre à revenir au domicile alors qu'elle tentait de fuir ses violences #crimedepossession

Mis en examen pour "homicide par conjoint", il a été depuis écroué #féminicide

Les enfants auraient été confiés à l'Aide Sociale à l'Enfance.

60. Hadjira

Poignardée à mort

Vendredi 21 juillet à Franconville (Val-d'Oise), Hadjira Bouafia (45 ans) a été poignardée à mort par son mari (51 ans) à leur domicile. L'homme a ensuite tenté de se suicider en ingérant des médicaments. Les 2 enfants en bas-âge du couple (2 ans et 3 ans 1/2 ) étaient présents dans l'appartement au moment des faits.

Vendredi 21 juillet à Marzan (Morbihan), Maïté Aronson (32 ans) a été mortellement percutée par son conjoint, Ronan Bodo-Denis (35 ans), au milieu de la nuit. Ce dernier a été interpellé après avoir pris la fuite avec le véhicule.
En garde à vue, l'homme a reconnu avoir percuté son épouse mais "affirmait l'avoir fait sans se rendre compte qu'il percutait une personne et encore moins son épouse". Les constatations techniques ainsi que l'audition de témoins sont venus contredire sa version.
Samedi 22 juillet, il a été mis en examen pour "homicide par conjoint" et écroué #féminicide
Maïté était mère de 4 enfants.

59. Maïté

Écrasée volontairement en voiture par son conjoint

Vendredi 21 juillet à Marzan (Morbihan), Maïté Aronson (32 ans) a été mortellement percutée par son conjoint, Ronan Bodo-Denis (35 ans), au milieu de la nuit. Ce dernier a été interpellé après avoir pris la fuite avec le véhicule.
En garde à vue, l'homme a reconnu avoir percuté son épouse mais "affirmait l'avoir fait sans se rendre compte qu'il percutait une personne et encore moins son épouse". Les constatations techniques ainsi que l'audition de témoins sont venus contredire sa version.

Mardi 18 juillet à Feytiat (Haute-Vienne), le corps de Catherine Vialle (66 ans) a été découvert à son domicile par sa voisine, inquiète de ne pas avoir de nouvelles. La victime a été abattue avec une arme à feu dans la chambre conjugale par son mari Michel Thibard (69 ans), ancien gendarme, qui s'est ensuite suicidé avec la même arme.
Malgré une lettre retrouvée au domicile et le journal Le Populaire qui titre "drame familial", rien n'indique, évidemment, que Madame souhaitait être abattue comme du gibier ! Le maire confirme d'ailleurs que "le mari aurait tué sa femme avant de se donner la mort" #féminicide
Un voisin confirme également que le couple vivait "discrètement, un peu reclus"
Une enquête pour "homicide suivi d'un suicide" est ouverte, une autopsie des corps est prévue.

58. Catherine

Abattue avec une arme à feu

Mardi 18 juillet à Feytiat (Haute-Vienne), le corps de Catherine Vialle (66 ans) a été découvert à son domicile par sa voisine, inquiète de ne pas avoir de nouvelles. La victime a été abattue avec une arme à feu dans la chambre conjugale par son mari Michel Thibard (69 ans), ancien gendarme, qui s'est ensuite suicidé avec la même arme.

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