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Féminicides par compagnons ou ex en septembre 2024

Lundi 16 septembre à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint--Denis), une femme (26 ans) a été étranglée par son compagnon (29 ans) à leur domicile. Elle n'a pas pu être réanimée malgré l'arrivée des secours. L'homme s'est ensuite entaillé le sexe avec une arme blanche. Il a d'abord été conduit à l'hôpital avant d'être placé en garde à vue différée.
Une autopsie du corps a été ordonnée, une enquête pour "homicide par conjoint" est ouverte #féminicide

76. XX

Étranglée

Lundi 16 septembre à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint--Denis), une femme (26 ans) a été étranglée par son compagnon (29 ans) à leur domicile. Elle n'a pas pu être réanimée malgré l'arrivée des secours. L'homme s'est ensuite entaillé le sexe avec une arme blanche. Il a d'abord été conduit à l'hôpital avant d'être placé en garde à vue différée.

Samedi 14 septembre à Cormontreuil (Marne), une femme (46 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (51 ans) en présence de leurs 2 enfants de 4 et 11 ans, puis il a tenté de se suicider avec la même arme. Son pronostic vital est engagé. 
Une enquête pour « homicide volontaire sur conjoint » #féminicide a été confiée à la police judiciaire.

75. XX

Poignardée à mort

Samedi 14 septembre à Cormontreuil (Marne), une femme (46 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (51 ans) en présence de leurs 2 enfants de 4 et 11 ans, puis il a tenté de se suicider avec la même arme.

Samedi 14 septembre à Carvin (Pas-de-Calais), Peggy (43 ans) a été mortellement poignardée à plusieurs reprises par son compagnon à leur domicile. 3 enfants de 4, 11 et 15 ans, présents au moment des faits, et une aînée de 19 ans arrivée plus tard, ont été transportés à l'hôpital en état de choc. La victime, qui n'a pas pu être réanimée par les secours, présentait de multiples blessures à la gorge et à l'abdomen.

Interpellé sur place, le conjoint a été placé en garde à vue. Le parquet de Béthune confirme les faits et a ouvert une enquête pour "homicide par conjoint" #féminicide

74. Peggy

Poignardée à mort

Samedi 14 septembre à Carvin (Pas-de-Calais), Peggy (43 ans) a été mortellement poignardée à plusieurs reprises par son compagnon à leur domicile. 3 enfants de 4, 11 et 15 ans, présents au moment des faits, et une aînée de 19 ans arrivée plus tard, ont été transportés à l'hôpital en état de choc.

Mardi 27 août à Beaujeu (Rhône) le corps d'une femme (65 ans) a été découvert à son domicile par des voisins qui ont prévenu les secours. Sa mort remonterait à une dizaine de jours. 
Interpellé le lendemain, son compagnon (65 ans) nie les faits et prétend qu'il s'agit d'un accident. Mais les éléments de l'enquête n'ont pas convaincu le juge d'instruction, l'homme a été mis en examen pour "meurtre par conjoint" et incarcéré à l'issue de sa garde à vue. 
Ce #féminicide n'a été relayé que par la presse locale et a failli échapper à notre surveillance. #omerta #médiascomplices

73. XX

Inconnue

Mardi 27 août à Beaujeu (Rhône) le corps d'une femme (65 ans) a été découvert à son domicile par des voisins qui ont prévenu les secours. Sa mort remonterait à une dizaine de jours.
Interpellé le lendemain, son compagnon (65 ans) nie les faits et prétend qu'il s'agit d'un accident

Lundi 9 septembre à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), une femme (84 ans) a été abattue, avec un fusil, par son mari (87 ans) à leur domicile. L'homme aurait ensuite tué le chien de la famille avant de se suicider avec la même arme. C'est leur fils, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, qui a prévenu les secours. Selon les premiers éléments et relevés de l'enquête, "l'homme aurait tué son épouse et le chien avant de retourner l'arme contre lui" #feminicide 
Pour rappel, abattre sa femme comme du gibier n'est pas un acte d'amour, c'est un féminicide, un #crimedepossession où un homme s'octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne ! Ni l'âge, ni la maladie ne justifient de commettre un tel crime !

72. XX

Abattue avec un fusil

Lundi 9 septembre à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), une femme (84 ans) a été abattue, avec un fusil, par son mari (87 ans) à leur domicile. L'homme aurait ensuite tué le chien de la famille avant de se suicider avec la même arme. C'est leur fils, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, qui a prévenu les secours. Selon les premiers éléments et relevés de l'enquête, "l'homme aurait tué son épouse et le chien avant de retourner l'arme contre lui" #feminicide

Lundi 9 septembre à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), une femme a été poignardée à mort par son compagnon dans leur appartement. Il a également grièvement blessé la sœur de celle-ci (pronostic vital engagé) avant d'essayer de se pendre.
Les secours puis la police ont découvert une scène d'horreur à leur arrivée.
Il a été hospitalisé et placé en garde à vue, selon le parquet de Créteil, qui a confié l’enquête pour "homicide sur conjoint" à la police judiciaire du Val-de-Marne.
Nous attendons de nouvelles informations pour préciser les circonstances.

71. XX

Poignardée à mort

Lundi 9 septembre à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), une femme a été poignardée à mort par son compagnon dans leur appartement. Il a également grièvement blessé la sœur de celle-ci (pronostic vital engagé) avant d'essayer de se pendre.

Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 septembre à Mormant (Seine-et-Marne), une femme (36 ans) a été tuée, avec une arme blanche, par son compagnon (41 ans) à leur domicile. L'homme a également tué les 2 fillettes du couple (22 mois et 5 ans) avant de s'en prendre à un passant dans la rue. C'est un policier hors service témoin de l'agression qui a maîtrisé le meurtrier.
Interpellé par les gendarmes venus en renfort, l'homme a avoué le triple meurtre et a conduit les militaires à son domicile. Ces derniers n'ont pu que constater le décès des 3 victimes.
Le meurtrier avait été diagnostiqué  schizophrène en 2001, il était manifestement insuffisamment suivi. Il a été interné d’office en service psychiatrique.

70. XX

Poignardée à mort avec ses 2 enfants

Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 septembre à Mormant (Seine-et-Marne), une femme (36 ans) a été tuée, avec une arme blanche, par son compagnon (41 ans) à leur domicile. L'homme a également tué les 2 fillettes du couple (22 mois et 5 ans) avant de s'en prendre à un passant dans la rue.

Mardi 3 septembre à Montauban (Tarn-et-Garonne), Itto  Ler Casser(70 ans) a été battue à mort, avec un bâton, par son mari Mouloud El A. (74 ans) dans leur garage. Sous les coups de son conjoint, la victime a eu le crâne fracassé et a chuté violemment au sol, entraînant des lésions irréversibles et son décès. Malgré l'intervention rapide des secours, elle n'a pas pu être réanimée.

Le mari a été interpellé immédiatement et a été placé en garde à vue. Il a reconnu les faits. Le procureur de la République a confirmé le décès de la victime et a ouvert une enquête pour "homicide par conjoint" #féminicide 
Le meurtrier avait déjà été condamné en 2022 à une peine avec sursis pour des violences sur la victime et avait interdiction de l'approcher jusqu'au 26/8 dernier.

69. Itto

Battue à mort

Mardi 3 septembre à Montauban (Tarn-et-Garonne), Itto Ler Casser(70 ans) a été battue à mort, avec un bâton, par son mari Mouloud El A. (74 ans) dans leur garage. Sous les coups de son conjoint, la victime a eu le crâne fracassé et a chuté violemment au sol, entraînant des lésions irréversibles et son décès. Malgré l'intervention rapide des secours, elle n'a pas pu être réanimée..

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