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Féminicides par compagnons ou ex publiés en août 2023

Mardi 29 août à Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), Taghreed Abdullah (57 ans) aurait été battue à mort et asphyxiée par son mari dans un espace boisé de l'écoquartier de la Guignardière. L'homme aurait ensuite pris la fuite, les gendarmes ont tenté sans succès de l'interpeller.

Une enquête est ouverte et le mari est activement recherché. Le même jour, les techniciens poursuivaient leurs investigations dans l'appartement du couple situé à proximité.

Jeudi 31 août, l'homme a été interpellé alors qu'il descendait d'un train à la gare de Tours. Il a été placé en garde à vue pour "meurtre par conjoint".

75. Taghreed

Battue à mort

Mardi 29 août à Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), Taghreed Abdullah (57 ans) aurait été battue à mort et asphyxiée par son mari dans un espace boisé de l'écoquartier de la Guignardière. L'homme aurait ensuite pris la fuite, les gendarmes ont tenté sans succès de l'interpeller.

Samedi 26 août à Toahotu (Polynésie française), Marie-Christine (39 ans) a été tuée par son conjoint (79 ans). L'homme l'a mortellement frappée à la tête avec une bouteille en verre puis s'est présenté à la brigade de gendarmerie de Taravao le lendemain matin pour avouer les faits. L'homme était déjà connu de la justice pour des violences. 
 
Une autopsie doit être pratiquée sur le corps de la victime. Elle avait déjà porté plainte plusieurs fois contre son mari mais, sous emprise, elle ne parvenait pas à quitter définitivement ce conjoint violent.

Elle était mère de 5 enfants dont un bébé âgé d'un mois.

74. Marie-Christine

Battue à mort avec une bouteille

Samedi 26 août à Toahotu (Polynésie française), Marie-Christine (39 ans) a été tuée par son conjoint (79 ans). L'homme l'a mortellement frappée à la tête avec une bouteille en verre puis s'est présenté à la brigade de gendarmerie de Taravao le lendemain matin pour avouer les faits. L'homme était déjà connu de la justice pour des violences.

Samedi 26 août à Sucy-en-Brie (Val-de-Marne), Nasera (52 ans) aurait été battue à mort par son compagnon Hakan C. (56 ans) à leur domicile. L'homme a appelé les secours pour indiquer que sa femme avait "chuté dans les escaliers" et ne respirait plus. Cette version a rapidement été contredite par les médecins qui ont constaté de nombreuses traces de violence telles que des ecchymoses au visage et des bosses à l'arrière du crâne de la femme décédée. L'autopsie a également révélé qu'elle avait aussi des marques de défense sur les bras.
De plus, les enquêteurs ont découvert de nombreuses traces de sang dans la maison qui avaient été javellisées. Il a reconnu avoir nettoyé la maison, changé et lavé ses vêtements, et s'être débarrassé d'un sac rempli de linge qu'il a jeté à un rond point.

Déjà connu de la justice pour des faits de #violencesconjugales, le compagnon est actuellement en garde à vue. Pourtant, le parquet de Créteil s'est empressé de requalifier ce #féminicide en "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner" #JusticeComplice #LaHonte 

Cet homme, qui entretenait une relation avec la victime, était déjà marié avec une autre femme. Celle-ci avait déposé plainte contre lui en mars 2023 pour des faits de violences conjugales et de viol, elle a été contrainte dese battre jusqu'en cours d'appel pour obtenir une ordonnance de protection en juillet 2023. Par ailleurs, il avait été condamné en 2020, également pour des violences conjugales, envers son épouse précédente en 2017. Les blessures infligées à celle-ci, lui avaient entraîné une incapacité de 15 jours. Face aux enquêteurs, il aurait alors expliqué que sa femme "était tombée dans l'escalier" !

Ce sont donc 3 femmes qui ont été violentées par cet homme en 6 ans et la dernière est morte sous ses coups ! Pourquoi était-il dehors alors qu'il était #récidiviste ? Pourquoi la parole des femmes n'est jamais prise au sérieux ?

73. Nasera

Battue à mort

Samedi 26 août à Sucy-en-Brie (Val-de-Marne), Nasera (52 ans) aurait été battue à mort par son compagnon Hakan C. (56 ans) à leur domicile. L'homme a appelé les secours pour indiquer que sa femme avait "chuté dans les escaliers" et ne respirait plus. Cette version a rapidement été contredite par les médecins qui ont constaté de nombreuses traces de violence telles que des ecchymoses au visage et des bosses à l'arrière du crâne de la femme décédée. L'autopsie a également révélé qu'elle avait aussi des marques de défense sur les bras.

Lundi 28 août à Thio (Nouvelle-Calédonie), une femme (trentenaire) a été battue à mort par son compagnon dans un champ, alors qu'ils avaient participé à une fête organisée par à la tribu d'Ouroue à proximité. C'est le propriétaire du champ qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours. 

"Sur les conseils des membres de sa famille", le compagnon s'est livré aux gendarmes et a été immédiatement placé en garde à vue. Le procureur de la République confirme que la victime présente "plusieurs lésions majeures au niveau de la tête" et qu'une enquête pour "homicide volontaire par conjoint" est ouverte. #féminicide

72. XX

Battue à mort

Lundi 28 août à Thio (Nouvelle-Calédonie), une femme (trentenaire) a été battue à mort par son compagnon dans un champ, alors qu'ils avaient participé à une fête organisée par à la tribu d'Ouroue à proximité. C'est le propriétaire du champ qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours.

Lundi 21 août à Saint-Etienne (Loire), Samar Atieh (62 ans) a été abattue avec une arme à feu par son ex-compagnon (71 ans) dans un bar. La victime avait accepté un rendez-vous avec son ancien conjoint pour lui rendre les clefs de son appartement. Elle avait rompu avec lui après 8 mois d'une relation, émaillée de violences conjugales #crimedepossession 

Un témoin, qui a immédiatement prévenu les secours, a vu l'homme tirer à 2 reprises sur son ex-conjointe avant de prendre la fuite. Rapidement interpellé, il a été placé en garde à vue puis hospitalisé. Le parquet a ouvert une enquête pour "assassinat aggravé par la circonstance de conjoint". #féminicide 

Samar Atieh était Docteur en pharmacie, et elle exerçait comme pharmacienne-biologiste au Centre hospitalier universitaire de Saint-Étienne. Elle était mère d'au moins 2 filles majeures.

71. Samar

Abattue avec une arme à feu

Lundi 21 août à Saint-Etienne (Loire), Samar Atieh (62 ans) a été abattue avec une arme à feu par son ex-compagnon (71 ans) dans un bar. La victime avait accepté un rendez-vous avec son ancien conjoint pour lui rendre les clefs de son appartement. Elle avait rompu avec lui après 8 mois d'une relation, émaillée de violences conjugales #crimedepossession

Mercredi 23 août à Vaux-lès-Saint-Claude (Jura), Dana Vincent (26 ans) a été égorgée par son compagnon Raphaël Tombouctou (57 ans), dans leur maison. L'homme a ensuite incendié l'habitation et s'est suicidé par arme à feu. Leurs deux enfants (2 ans et 10 mois) ont été retrouvés en vie dans une voiture garée à l'extérieur. 
A leur arrivée, les pompiers ont pris en charge les enfants et ont engagé d'importants moyens pour maîtriser l'incendie.

D'après les premières investigations de la brigade scientifique de la gendarmerie, l'enquête s'oriente vers un #féminicide suivi du suicide de l'auteur des faits. Malgré l'état des corps, des traces d'égorgement auraient été relevées sur celui de Dana. Une autopsie est prévue. Très choqués, les enfants ont été transportés à l'hôpital.
Le couple était en instance de séparation. 

Non ! La Voix du Jura/Actu.fr, ce n'est pas un "drame familial" mais un #féminicide, un #crimedepossession, un homme qui s'octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne !

L'assassin avait déjà un lourd passé judiciaire, avec une condamnation pour le féminicide d'une précédente compagne en 1996. #récidiviste 
Libéré en 2003, après seulement 7 ans de détention,  il avait de nouveau été condamné en 2009 pour "un délit relatif aux mœurs". Il avait également fait l'objet de poursuites en 2019 et 2022 pour le non-respect des obligations liées à son inscription au fichier judiciaire des auteurs d'infractions sexuelles" selon France 3 Bourgogne.

70. Dana

Égorgée

Mercredi 23 août à Vaux-lès-Saint-Claude (Jura), Dana Vincent (26 ans) a été égorgée par son compagnon Raphaël Tombouctou (57 ans), dans leur maison. L'homme a ensuite incendié l'habitation et s'est suicidé par arme à feu. Leurs deux enfants (2 ans et 10 mois) ont été retrouvés en vie dans une voiture garée à l'extérieur. Leurs deux enfants (2 ans et 10 mois) ont été retrouvés en vie dans une voiture garée à l'extérieur. A leur arrivée, les pompiers ont pris en charge les enfants et ont engagé d'importants moyens pour maîtriser l'incendie.

Mercredi 9 août à Lyon (Rhône), Zohra Ya (38 ans) a été mortellement poignardée dans le hall de son immeuble, situé dans le quartier Montchat. La police avait été dépêchée sur les lieux après l’alerte d’une voisine évoquant des cris et une scène de violence en cours. En ouvrant sa porte, cette habitante a découvert Zohra dans une mare de sang.
L'homme avec qui Zohra vivait et qui serait son conjoint, a disparu depuis. Il serait le principal suspect de ce #féminicide 

L'autopsie de la victime a révélé qu'elle a été poignardée à de multiples reprises dans le dos, le ventre et la gorge. Dimanche 13 août, le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour #assassinat. Depuis, aucune interpellation n'a eu lieu, le conjoint de Zohra n'a toujours pas été retrouvé. Après une perquisition et de nombreux relevés scientifiques, leur domicile a été placé sous scellé.

69. Zohra

Poignardée à mort

Mercredi 9 août à Lyon (Rhône), Zohra Ya (38 ans) a été mortellement poignardée dans le hall de son immeuble, situé dans le quartier Montchat. La police avait été dépêchée sur les lieux après l’alerte d’une voisine évoquant des cris et une scène de violence en cours. En ouvrant sa porte, cette habitante a découvert Zohra dans une mare de sang.
L'homme avec qui Zohra vivait et qui serait son conjoint, a disparu depuis. Il serait le principal suspect de ce #féminicide

Dimanche 13 août à Paris (8ème) Marie-Astrid (39 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (30 ans). Son corps avant été découvert dans sa cabine de douche, lardé d'une dizaine de coups de couteau, et partiellement recouvert d'une couverture.
L'homme avait pris la fuite et était activement recherché.
Le parquet de Paris avait ouvert une information judiciaire jeudi 17 août du chef de meurtre.
Vendredi 18 août, l'homme a été interpellé en Espagne. 
Sa remise aux autorités judiciaires françaises est en cours.

68. Marie-Astrid

Poignardée à mort

Dimanche 13 août à Paris (8ème) Marie-Astrid (39 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (30 ans). Son corps avant été découvert dans sa cabine de douche, lardé d'une dizaine de coups de couteau, et partiellement recouvert d'une couverture.
L'homme avait pris la fuite et était activement recherché.

Samedi 1 juillet à Nanterre (Hauts-de-Seine), Cindy Saindoy (38 ans) a été étranglée à mort par son "ami"  Dimitri (37 ans) au cours de la soirée dans l'appartement de sa grand-mère. Le fils de la victime a découvert le corps de sa mère sans vie à son réveil et a prévenu les secours indiquant que sa mère avait passé la soirée avec un "ami" nommé Dimitri. Selon l'autopsie, Cindy présentait des marques de coups et de strangulation. L'analyse de son téléphone et des nombreux SMS révèlent que Dimitri était très entreprenant avec elle. Quelques temps après, le meurtrier aurait confié son crime à un professionnel de santé, ce qui aurait entraîné son interpellation le 25 juillet à son domicile à Paris.
Malgré de nombreux éléments à charge, l'homme soutient qu'il aurait étranglé Cindy parce qu'elle ne voulait pas le laisser quitter l'appartement, mettant tout en oeuvre pour le séduire ! Il a été mis en examen pour meurtre et écroué le 26 juillet #féminicide
Le Parisien avait d'abord scandaleusement titré "le jardinier amoureux avoue avoir étranglé Cindy" avant de rectifier le tir sous la pression des internautes. En effet, il n'est pas question d'amour mais d'un homme éconduit, blessé dans son ego, qui s'octroie un droit de vie et de mort sur une femme #crimedepossession

67. Cindy

Étranglée à mort

Samedi 1 juillet à Nanterre (Hauts-de-Seine), Cindy Saindoy (38 ans) a été étranglée à mort par son "ami" Dimitri (37 ans) au cours de la soirée dans l'appartement de sa grand-mère. Le fils de la victime a découvert le corps de sa mère sans vie à son réveil et a prévenu les secours indiquant que sa mère avait passé la soirée avec un "ami" nommé Dimitri. Selon l'autopsie, Cindy présentait des marques de coups et de strangulation. L'analyse de son téléphone et des nombreux SMS révèlent que Dimitri était très entreprenant avec elle. Quelques temps après, le meurtrier aurait confié son crime à un professionnel de santé, ce qui aurait entraîné son interpellation le 25 juillet à son domicile à Paris.

Lundi 7 août à Toulouse (Haute-Garonne), Jacqueline Latour (27 ans) aurait été poignardée à mort par son compagnon (28 ans) à leur domicile. Ce sont les pompiers qui ont fait la macabre découverte et pris en charge l'homme également blessé. Les premières constatations indiquent que la victime pourrait s'être défendue avant de succomber.

Selon actu.fr, le concubin aurait été interpellé par les forces de l'ordre et l'enquête semble s'orienter vers un #féminicide. 
Jeudi 17 août, il a été mis en examen pour "homicide volontaire aggravé".

66. Jacqueline

Poignardée à mort

Lundi 7 août à Toulouse (Haute-Garonne), Jacqueline Latour (27 ans) aurait été poignardée à mort par son compagnon (28 ans) à leur domicile. Ce sont les pompiers qui ont fait la macabre découverte et pris en charge l'homme également blessé. Les premières constatations indiquent que la victime pourrait s'être défendue avant de succomber.

Samedi 5 août à Foix (Ariège), Hélène Grando (57 ans) a été abattue avec un revolver par son ex-mari Jean-José Lopez (72 ans) sur le parking de son lieu de travail. Il a d'abord assassiné Serge Colombies (62 ans), un collègue de travail d'Hélène, qu'il suspectait d'avoir une relation avec elle, puis il s'est suicidé avec l'arme. 

Le couple était en instance de séparation, selon le parquet, Hélène avait entamé une procédure de divorce et avait quitté le domicile conjugal quelques jours auparavant #crimedepossession

Hélène était mère de 2 garçons et travaillait comme responsable du rayon boulagerie-pâtisserie dans un hypermarché de Foix. Dynamique et appréciée, elle était également impliquée dans le comité des fêtes de Montgailhard.

65. Hélène

Abattue avec un revolver

Samedi 5 août à Foix (Ariège), Hélène Grando (57 ans) a été abattue avec un revolver par son ex-mari Jean-José Lopez (72 ans) sur le parking de son lieu de travail. Il a d'abord assassiné Serge Colombies (62 ans), un collègue de travail d'Hélène, qu'il suspectait d'avoir une relation avec elle, puis il s'est suicidé avec l'arme.

Vendredi 4 août à Préchac-sur-Adour (Gers), Sylvie Sanchez (58 ans) a été mortellement percutée à plusieurs reprises par son ex-conjoint (73 ans) alors qu'elle tentait de fuir. Alertés par les cris de la victime, des habitants du village l'ont vue prendre la fuite, poursuivie par une voiture. Après avoir été écrasée contre un portail, elle n'a pas survécu. Son assassin s'est ensuite rendu à son domicile à Gailax où il a mis le feu ainsi qu'à sa voiture et celle de Sylvie. Le GIGN a été appelé en renfort tandis que l'homme a tenté de se suicider avec une carabine.

Sylvie avait déposé une main courante le 18 juin contre son ex-compagnon pour des menaces de mort entre janvier et le mois de juin. Lors d'une perquisition chez celui-ci, les gendarmes avaient saisi quatre carabines et fusils. Une mesure d’hospitalisation en psychiatrie avait été ensuite ordonnée le 5 juillet, puis levée, selon le parquet, « par arrêté préfectoral du 21 juillet 2023 pris sur le fondement de deux certificats médicaux favorables à la levée de la mesure, dont le second avait été demandé par la préfecture, il avait été mis fin à la mesure ». L'expert psychiatre n'ayant pas relevé de dangerosité de l’intéressé !

Dès sa sortie de l’hôpital, l’homme avait été placé en garde à vue pour "menaces de mort réitérées par conjoint". Lors de son audition, il avait reconnu les faits et avait reçu une convocation judiciaire pour le 3 novembre #JusticeLaxiste 

Une enquête pour #assassinat est ouverte #féminicide

Sylvie Sanchez était conseillère immobilier depuis de nombreuses années et également conseillère municipale dans la commune de Galiax où elle résidait.

64. Sylvie

Écrasée par la voiture conduite par son ex-compagnon

Vendredi 4 août à Préchac-sur-Adour (Gers), Sylvie Sanchez (58 ans) a été mortellement percutée à plusieurs reprises par son ex-conjoint (73 ans) alors qu'elle tentait de fuir. Alertés par les cris de la victime, des habitants du village l'ont vue prendre la fuite, poursuivie par une voiture. Après avoir été écrasée contre un portail, elle n'a pas survécu. Son assassin s'est ensuite rendu à son domicile à Gailax où il a mis le feu ainsi qu'à sa voiture et celle de Sylvie. Le GIGN a été appelé en renfort tandis que l'homme a tenté de se suicider avec une carabine.

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