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Féminicides par compagnons ou ex publiés en janvier 2025

Mercredi 15 janvier à Laon (Aisne), Sonia Grandin (52 ans) a été kidnappée, séquestrée puis tuée par son ex-compagnon Christian Bernard à leur ancien domicile. Il aurait ensuite tenté de se suicider en s'ouvrant les veines. Ce sont des proches de la victime, inquiets de sa soudaine disparition, qui ont fait un signalement aux forces de l’ordre. Sonia s’était séparée depuis 2 mois de son ex-compagnon #crimedepossession les gendarmes se sont alors rendus à l'ancienne résidence du couple et ont découvert son corps. 

Son ex-conjoint gisait, inconscient, à ses côtés. Il a été hospitalisé avant d’être placé ce jeudi 16 janvier en garde à vue. Le procureur confirme qu’une enquête pour “meurtre par conjoint, enlèvement et séquestration” #féminicide

Sonia Grandin était préparatrice en pharmacie et avait travaillé plusieurs années au Centre Hospitalier de Chauny qui lui a également rendu femmage.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

5. Sonia

Cause du décès inconnue

Mercredi 15 janvier à Laon (Aisne), Sonia Grandin (52 ans) a été kidnappée, séquestrée puis tuée par son ex-compagnon Christian Bernard au domicile de ce dernier. Il aurait ensuite tenté de se suicider en s'ouvrant les veines.

Jeudi 9 janvier à Cenon (Gironde), Nasrine (41 ans) a été égorgée par son mari Youcef (43 ans) à leur domicile. L'homme a appelé lui-même les forces de police deux heures plus tard pour avouer son crime. 
Le meurtrier a été arrêté et placé en garde à vue. Une enquête pour “meurtre par conjoint” est ouverte #féminicide 
Nasrine était mère de 3 enfants (5, 9 et 10 ans) et agent de la direction des finances de la ville de Cernon.

NOUS LA CITONS,
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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

4. Nasrine

Égorgée

Jeudi 9 janvier à Cenon (Gironde), Nasrine (41 ans) a été égorgée par son mari Youcef (43 ans) à leur domicile. L'homme a appelé lui-même les forces de police deux heures plus tard pour avouer son crime.
Le meurtrier a été arrêté et placé en garde à vue.
Une enquête pour “meurtre par conjoint” est ouverte #féminicide

Mardi 7 janvier à Brétigny-sur-Orge (Essonne), Sandy Pinto (34 ans) a été tuée par son compagnon Marvin C. (29 ans) à leur domicile. Leur fille (4 ans) ainsi que le fils (7 ans) du meurtrier ont été témoins du crime, ils auraient également subi des violences.
Les voisins ont été alertés par des cris et ont prévenu les secours. Mais face à une porte blindée, les policiers n'ont pu porter secours à la victime. Elle était décédée lorsqu'ils ont pu pénétrer dans le logement. 

En ouvrant la porte, l'homme s'est précipité sur les policiers armé de deux couteaux". Il a été "rapidement maîtrisé grâce à l’usage d’un pistolet à impulsion électrique" et placé en garde à vue pour meurtre. #féminicide  Son état de santé était jugé incompatible avec une garde à vue, il a été hospitalisé 

Marvin C. avait déjà été condamné à trois reprises. 
Son casier judiciaire mentionne "trois condamnations pour des faits commis entre 2014 et 2016 de violences par ascendant, conduite sans permis et violences en réunion". En 2017, il avait été condamné par la Cour d’appel de Paris pour des violences en réunion commises en 2014, et avait écopé d’"une amende de 1200 euros avec sursis”. 

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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

3. Sandy

Battue à mort

Mardi 7 janvier à Brétigny-sur-Orge (Essonne), Sandy Pinto (34 ans) a été tuée par son compagnon Marvin C. (29 ans) à leur domicile. Leur fille (4 ans) ainsi que le fils (7 ans) du meurtrier ont été témoins du crime, ils auraient également subi des violences.

Samedi 4 janvier à Yaté (Nouvelle-Calédonie), Graziella (54 ans) a été poignardée à mort par son mari (52 ans). Il lui a sectionné l'artère fémorale et l'a laissée mourir sur place. 
Au lieu de lui porter secours, il a pris la fuite avant d’être découvert par des membres de sa famille et remis aux gendarmes. 

Graziella était mère de 7 enfants.

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2. Graziella

Poignardée à mort

Samedi 4 janvier à Yaté (Nouvelle-Calédonie), Graziella (54 ans) a été poignardée à mort par son mari (52 ans). Il lui a sectionné l'artère fémorale et l'a laissée mourir sur place. Au lieu de lui porter secours, il a pris la fuite avant d’être découvert par des membres de sa famille et remis aux gendarmes.

Mercredi 1er janvier 2025 à Hautmont (Nord), Isabelle Mortaigne (51 ans) aurait été battue à mort par son compagnon (quadragénaire) à leur domicile. L'homme aurait ensuite appelé la police en indiquant "avoir fait une bêtise". A leur arrivée, les secours ont découvert le corps de la victime portant de nombreuses ecchymoses. Le compagnon a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de Maubeuge. 
Selon des voisins, les secours seraient déjà intervenus au domicile du couple quelques jours auparavant. 
Elle avait annoncé à son compagnon qu'elle voulait le quitter mais selon ses proches "il savait la convaincre" d'y renoncer, par la terreur ! 
L'homme avait déposé une main courante au commissariat car il soupçonnait sa compagne de le tromper !!??? Comment a été accueilli ce signalement par la Police ? 

Une enquête pour "homicide par conjoint" est ouverte #féminicide
Isabelle était mère de 2 enfants. 

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1. Isabelle

Battue à mort

Mercredi 1er janvier 2025 à Hautmont (Nord), Isabelle Mortaigne (51 ans) aurait été battue à mort par son compagnon (quadragénaire) à leur domicile. L'homme aurait ensuite appelé la police en indiquant "avoir fait une bêtise".

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