Féminicides par compagnons ou ex publiés en septembre 2023

Mardi 26 septembre à Toulouse (Haute-Garonne), Mouna Oucharboul (51 ans) a été tuée par son compagnon, Mustapha (54 ans). Il l'a frappée à mort avec un objet contondant, probablement un marteau. Il a ensuite lui-même prévenu la Police de son crime.

La fille aînée du meurtrier ainsi que son bébé de 8 mois étaient présents dans le logement. Elle a tenté d'appeler les secours.
La victime était mère de 2 enfants mineurs.
L'homme a été mis en examen et écroué. #féminicide

81. Mouna

Battue à mort avec un marteau

Mardi 26 septembre à Toulouse (Haute-Garonne), Mouna Oucharboul (51 ans) a été tuée par son compagnon, Mustapha (54 ans). Il l'a frappée à mort avec un objet contondant, probablement un marteau. Il a ensuite lui-même prévenu la Police de son crime.

Article de presse

80. Caroline

Abattue avec une arme à feu

Mardi 19 septembre à La Rochelle (Charente-Maritime), Caroline Coulon (38 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son ex-mari (42 ans) à son domicile. L'homme s'est ensuite suicidé en retournant l'arme contre lui. Une lettre du meurtrier, retrouvée sur les lieux, semble confirmer la piste d'un #féminicide suivi d'un suicide.

Article de presse

Jeudi 16 mars à Souvigné-sur-Sarthe (Sarthe) Monique Chelle (divorcée Achour) (61 ans) a été tuée par son ex-compagnon (59 ans). Il avait mis le feu à son propre appartement à Sablé-sur-Sarthe, le lendemain de la découverte du corps ce qui a éveillé les soupçons des enquêteurs. Une source proche de l'enquête a précisé qu'elle avait eu une relation avec son assassin, et qu'elle était terminée "depuis un petit moment".
Vendredi 28 juillet 2023, l'homme a été "mis en examen pour assassinat" mais cette information, ni même de quelle façon il l'a tuée, n'a pas été données aux médias par le parquet qui a choisi l'#omerta et n'a bien sûr pas précisé la nature de la relation du tueur avec la victime.
Elle était mère de 3 enfants majeurs.

79. Monique

Cause du décès inconnue

Jeudi 16 mars à Souvigné-sur-Sarthe (Sarthe) Monique Chelle (divorcée Achour) (61 ans) a été tuée par son ex-compagnon (59 ans). Il avait mis le feu à son propre appartement à Sablé-sur-Sarthe, le lendemain de la découverte du corps ce qui a éveillé les soupçons des enquêteurs. Une source proche de l'enquête a précisé qu'elle avait eu une relation avec son assassin, et qu'elle était terminée "depuis un petit moment".

Article de presse

78. Emmanuelle

Battue à mort

Samedi 2 septembre à Yport, près de Fécamp (Seine-Maritime), Emmanuelle Levert (52 ans) a été battue à mort par son mari Franck Duboc (66 ans) à leur domicile. C'est lui qui a prévenu les secours, indiquant qu'il avait "trouvé sa femme blessée au pied de l'escalier". À l'arrivée des pompiers, la victime était déjà décédée

Article de presse

Vendredi 1er septembre à Mory (Pas-de-Calais) les corps de Patricia Tabary (52 ans) et de son mari André Letombe (59 ans) ont été retrouvés à leur domicile. C'est le directeur de l'EHPAD dans lequel travaillait la victime qui a donné l'alerte, n'ayant pas de nouvelles de sa salariée.
Les pompiers se sont rendus au domicile du couple et ont découvert les corps.
Ainsi, "Il est très peu probable qu'il y ait eu un tiers impliqué", "L'usage d’arme à feu semblait privilégiée."
Et enfin "la thèse du « drame familial » est privilégiée"...
Selon nous, il semblerait que tous les éléments orientent vers la thèse du #féminicide suivi d'un suicide, assortie de l'#omerta habituelle de la Justice !

77. Patricia

Abattue avec une arme à feu

Vendredi 1er septembre à Mory (Pas-de-Calais) les corps sans vie de Patricia Tabary (52 ans) et de son mari André Letombe (59 ans) ont été retrouvés à leur domicile. C'est le directeur de l'EHPAD dans lequel travaillait la victime qui a donné l'alerte, n'ayant pas de nouvelles de sa salariée.
Les pompiers se sont rendus au domicile du couple et ont découvert les corps.
Ainsi, "Il est très peu probable qu'il y ait eu un tiers impliqué", "L'usage d’arme à feu semblait privilégiée."
Et enfin "la thèse du « drame familial » est privilégiée"...
Selon nous, il semblerait que tous les éléments orientent vers la thèse du #féminicide suivi d'un suicide, assortie de l'#omerta habituelle de la Justice !

Article de presse

$Jeudi 31 août à La Croix de la Rochette (Savoie), Karen Caudron (42 ans) a été battue et poignardée à mort avec une machette par son ex-mari Georges Damiano (61 ans). Son fils (3 ans) qu'elle venait déposer à la crèche a été témoin du crime. Le tueur a ensuite pris la fuite en voiture et a été interpellé par le GIGN après une traque de 24 heures. Cet homme était déjà connu de la police et de la Justice : en 2017, Karen avait déposé plainte pour violences conjugales contre lui mais les faits ont été classés sans suite pour "infraction insuffisamment caractérisée". Il était également connu pour des faits de harcèlement et diffamation, non-respect d’une ordonnance de protection et revenge porn toujours à l'encontre de Karen. Il avait été condamné le 10 novembre 2020 par le tribunal correctionnel de Nice pour "non respect d’une ordonnance de protection". Une enquête a été ouverte pour "assassinat" #féminicide Les premiers éléments de l'enquête indiquent qu'il aurait prémédité son geste. Stationné devant un camping à quelques km de chez Karen, il a observé le lieu du crime et sa victime pendant plusieurs jours avant de passer à l'acte. Interpellé vendredi matin à Arvillard (Savoie), Georges Damiano été mis en examen et écroué dimanche 3 septembre pour l’assassinat de Karen, a annoncé le parquet de Chambéry. Karen était policière en charge des violences intrafamiliales sur la commune de Chambéry et était mère de 4 enfants. Elle avait obtenu une mutation à Chambéry après sa séparation avec son meurtrier et vivait avec un nouveau compagnon.$

76. Karen

Poignardée à mort avec une machette

Jeudi 31 août à La Croix de la Rochette (Savoie), Karen Caudron (42 ans) a été battue et poignardée à mort avec une machette par son ex-mari Georges Damiano (61 ans). Son fils (3 ans) qu'elle venait déposer à la crèche a été témoin du crime. Le tueur a ensuite pris la fuite en voiture et a été interpellé par le GIGN après une traque de 24 heures.