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Féminicides par compagnons ou ex publiés en juin 2022

Mardi 28 juin au Mans (Sarthe), Catherine Stempfle (61 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son mari Alain Barbarit (70 ans) à leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme.
C'est un proche du couple qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours. 
L'homme était un ancien fonctionnaire de Police tandis que sa compagne travaillait toujours au commissariat en tant que secrétaire administrative.
Les premiers éléments de l'enquête confirme "la thèse de l'homicide volontaire avec suicide de l'auteur" #Féminicide
Une enquête est ouverte et une autopsie des corps est prévue.

54. Catherine

Abattue avec une arme à feu

Mardi 28 juin au Mans (Sarthe), Catherine Stempfle (61 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son mari Alain Barbarit (70 ans) à leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme.
C'est un proche du couple qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours.

Dimanche 26 juin à Narbonne (Aude), Cristal Tourres (26 ans) a succombé à ses blessures après avoir été poignardée, à plusieurs reprises samedi soir, par son ex-petit ami (27 ans). Elle a été découverte grièvement blessée au pied de son immeuble et malgré sa prise en charge par les secours, elle est décédée dans la nuit. En fuite, l'homme est activement recherché par les forces de l'ordre.
Déjà connu des services de police, "il aurait été mêlé à des affaires de stupéfiants et de violences"
Le parquet confirme qu'une enquête pour "homicide aggravé" est ouverte #féminicide 
Mardi 28 juin 2022, le procureur confirme que la victime s'est rendu chez un médecin 4 jours avant d'être tuée pour faire constater des violences conjugales.
Jeudi 30 juin 2022, l'ex compagnon s'est rendu à la Police et "aurait" reconnu les faits. Il a été placé en garde à vue.

53. Cristal

Poignardée à mort

Dimanche 26 juin à Narbonne (Aude), Cristal Tourres (26 ans) a succombé à ses blessures après avoir été poignardée, à plusieurs reprises samedi soir, par son ex-petit ami. Elle a été découverte grièvement blessée au pied de son immeuble et malgré sa prise en charge par les secours, elle est décédée dans la nuit. En fuite, l'homme est activement recherché par les forces de l'ordre.

Lundi 20 juin à Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime), Martine Nodinot (68 ans) a été abattue, avec fusil, par son compagnon Michel Cocu (69 ans), au domicile de celui-ci. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme.
C'est la nièce de cet homme qui a fait la macabre découverte et prévenu les gendarmes. Le procureur de la République de Dieppe confirme que "l'homme aurait tiré un coup de feu sur sa compagne avant de retourner l'arme contre lui"
Selon des voisins, l'homme était atteint d'une leucémie foudroyante et "ne supportait pas son état". Le Journal Paris-Normandie précise aussi "que les DEUX VICTIMES étaient en couple" 🤮🤬 Non Monsieur le journaliste, il n'y a qu'UNE seule victime : Madame, qui voulait vivre et non être abattue comme du gibier ! C'est un #Féminicide, un crime de possession où un homme s'est octroyé un droit de vie et de mort sur sa compagne.
Une enquête pour "homicide volontaire" a été ouverte.

52. Martine

Abattue avec un fusil

Lundi 20 juin à Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime), Martine Nodinot (68 ans) a été abattue, avec fusil, par son compagnon Michel Cocu (69 ans), au domicile de celui-ci. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme.
C'est la nièce de cet homme qui a fait la macabre découverte et prévenu les gendarmes. Le procureur de la République de Dieppe confirme que "l'homme aurait tiré un coup de feu sur sa compagne avant de retourner l'arme contre lui"

Dimanche 19 juin à Lompret (Nord), Monique Steenackers (78 ans) a été poignardée à mort par son mari, André Fournier (82 ans). Il a lui même appelé la Police mais malgré l'intervention rapide des pompiers, elle n'a pas survécu. L'homme a été hospitalisé, "son état de santé ne permettant pas la garde à vue". 
D'après le voisinage, la violence de cet homme était connue, ce que tout le monde qualifiait comme "des excès de démence". Bien pratique pour l'excuser, mais fatal pour cette femme, laissée seule, livrée à elle même à un mari violent, probablement depuis de nombreuses années. 
Elle était mère de 2 enfants.

51. Monique

Poignardée à mort

Dimanche 19 juin à Lompret (Nord), Monique Steenackers (78 ans) a été poignardée à mort par son mari, André Fournier (82 ans). Il a lui même appelé la Police mais malgré l'intervention rapide des pompiers, elle n'a pas survécu. L'homme a été hospitalisé, "son état de santé ne permettant pas la garde à vue".

Dimanche 12 juin à Blois (Loir-et-Cher), Sandrine Faure (35 ans) a été mortellement poignardée par son compagnon (46 ans) à leur domicile. La fillette (7 ans et demi) du couple était présente dans l'appartement au moment des faits. L'homme a été interpellé sur place et a immédiatement reconnu les faits #Féminicide
En garde à vue, il a reconnu avoir porté plusieurs coups de couteau à sa compagne au cours d'une "dispute". Le procureur précise qu'il n'y avait pas d'antecédents de violences conjugales au sein du couple MAIS selon des voisins, plusieurs signalements avaient été fait récemment pour des "nuisances sonores sur fond d'alcool".
Le parquet de Blois a ouvert une enquête pour "meurtre aggravé", le compagnon devrait déféré aujourd'hui pour sa mise en examen.

50. Sandrine

Poignardée à mort

Dimanche 12 juin à Blois (Loir-et-Cher), Sandrine Faure (35 ans) a été mortellement poignardée par son compagnon (46 ans) à leur domicile. La fillette (7 ans et demi) du couple était présente dans l'appartement au moment des faits. L'homme a été interpellé sur place et a immédiatement reconnu les faits #Féminicide

Samedi 11 juin à Cersay (Deux-Sèvres) le corps de Patricia Gomit (51 ans) a été découvert à son domicile, gisant  dans une mare de sang avec d'importantes blessures à la tête.  
Ce sont des proches inquiets de son absence qui ont donné l'alerte.
Son compagnon, Yunus (55 ans) est suspecté du #féminicide. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Pour le moment, il nie les faits.
Après 48h de garde à vue, Yunus, le compagnon de Patricia, a été déféré lundi 13 juin devant le juge d’instruction qui a ordonné sa mise en examen pour "homicide volontaire" et son placement en détention provisoire.
Selon des témoins proches de la victime, Patricia avait déjà porté plainte contre son compagnon pour violences conjugales MAIS la plainte avait été classée sans suite par le parquet de Niort. #JusticeLaxiste #JusticeComplice

49. Patricia

Cause du décès inconnue

Samedi 11 juin à Cersay (Deux-Sèvres) le corps de Patricia Gomit (51 ans) a été découvert à son domicile, gisant dans une mare de sang avec d'importantes blessures à la tête.
Ce sont des proches inquiets de son absence qui ont donné l'alerte.
Son compagnon, Yunus (55 ans) est suspecté du #féminicide.

Jeudi 9 juin à Capinghem (Nord), Annie Boussekey (75 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son mari François Kuntz (80 ans) à leur domicile.
L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme. C'est la fille du couple qui a fait la macabre découverte.
Le maire de la commune a confirmé que "l'homme aurait tué sa conjointe avec une arme à feu avant de la retourner contre lui".
Une enquête pour "homicide par conjoint" est ouverte #Féminicide
Le parquet s'est empressé de préciser que "Madame était malade" comme si c'était une excuse valable pour la supprimer.
STOP à la banalisation et l'invisibilisation des féminicides de femmes âgées !
Pour rappel, ni l'âge, ni la maladie ou le handicap ne justifient d'abattre sa femme comme du gibier. C'est un crime de possession où un homme s'octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne !

48. Annie

Abattue avec une arme à feu

Jeudi 9 juin à Capinghem (Nord), Annie Boussekey (75 ans) a été abattue, avec une arme à feu, par son mari François Kuntz (80 ans) à leur domicile.
L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme. C'est la fille du couple qui a fait la macabre découverte.
Le maire de la commune a confirmé que "l'homme aurait tué sa conjointe avec une arme à feu avant de la retourner contre lui".
Une enquête pour "homicide par conjoint" est ouverte #Féminicide

Jeudi 9 juin à Clessé (Saône-et-Loire), Emma (14 ans) a été étranglée et mortellement poignardée à une dizaine de reprises par son petit ami, Joris (14 ans) près de l'école primaire et du city stade. C'est une personne, passant à proximité, qui a découvert son corps tôt dans la matinée. Le jeune homme a été interpellé un peu plus tard dans son établissement scolaire et placé en garde à vue. Il a reconnu les faits.
Lors de sa conférence de presse, le procureur Eric Jallet a indiqué que les investigations ont immédiatement orienté l'enquête vers le petit-ami. Interpellé, il présentait des marques de griffures et coupures notamment sur les mains. Ce dernier avait déjà tenu des propos inquiétants auprès de camarades, évoquant des pulsions meurtrières envers sa petite-amie. 
Rapidement, il a expliqué que cette nuit là, il avait donné rendez-vous à la jeune fille, comme à leur habitude, et qu'il avait aussi pris un couteau pour s'en prendre à elle. Après une discussion, il s'est jeté sur elle pour la poignarder à 3 reprises au cou, elle a tenté de fuir avant qu'il ne la rattrape, l'étrangle et s'acharne sur elle. L'arme du crime a été retrouvée plantée dans sa gorge, son nez était cassé.
Le procureur précise également qu'une enquête pour ASSASSINAT est désormais ouverte #Féminicide 
Il ajoute aussi que le jeune homme avait lui-même été victime de violences de la part de son père en janvier dernier.

Vendredi 10 juin, l'adolescent a été mis en examen pour assassinat et incarcéré dans un établissement disposant d'un quartier pour mineurs et d'une unité sanitaire psychiatrique.

Voilà le résultat de l'impunité que procure la #JusticePatriarcale aux hommes violents. Quel exemple, quels repères pour leurs fils ? La probabilité qu'ils deviennent à leur tour violents est extrêmement forte, la preuve encore une fois !

47. Emma

Poignardée à mort

Jeudi 9 juin à Clessé (Saône-et-Loire), Emma (14 ans) a été étranglée et mortellement poignardée à une dizaine de reprises par son petit ami, Joris (14 ans) près de l'école primaire et du city stade. C'est une personne, passant à proximité, qui a découvert son corps tôt dans la matinée. Le jeune homme a été interpellé un peu plus tard dans son établissement scolaire et placé en garde à vue. Il a reconnu les faits.

Mercredi 1er juin à Nice (Alpes-Maritimes), Valeria (34 ans) a été mortellement poignardée par son compagnon (52 ans) dans leur appartement. Le crime a eu lieu devant le fils (9 ans) de la victime qui a prévenu les secours.
L'homme a été interpellé par la police dans les parties communes de l'immeuble et l'enfant a immédiatement pris en charge. La jeune femme, déjà décédée, présentait de multiples plaies au niveau de l’abdomen, du visage et du thorax.
C'est le maire de Nice, Christian Estrosi, qui a dévoilé l'information ce matin sur Twitter.
Selon les premiers éléments de l'enquête, Valeria avait déjà porté plainte pour violences conjugales. L'homme fait l’objet de poursuites pénales pour "vol et violences sans incapacité" commises sur la victime et son fils, il aurait dû être jugé en octobre 2022. #JusticeLaxiste
Une enquête pour "homicide volontaire aggravé" est ouverte #Féminicide

46. Valeria

Poignardée à mort

Mercredi 1er juin à Nice (Alpes-Maritimes), Valeria (34 ans) a été mortellement poignardée par son compagnon (52 ans) dans leur appartement. Le crime a eu lieu devant le fils (9 ans) de la victime qui a prévenu les secours.

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