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Féminicides par compagnons ou ex publiés en avril 2025

Dimanche 13 avril à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Perrine (41 ans) est morte, dans son lit, des suites d'un coup de pied au visage porté la veille par Jimmy Bloyet, son compagnon (38 ans). L’homme a inventé une altercation avec les voisins pour justifier les marques sur le visage de la victime. Constatant son décès, il a alors pris la fuite mais a été interpellé peu après. Placé en garde à vue, il a été entendu plus tard en raison de son état d’ébriété et a reconnu avoir donné un coup de pied au visage de la victime la veille au soir. 

C'est le beau-père de Perrine, qui avait été informé de la fausse “altercation avec des voisins”, qui l’a découverte morte, l’après-midi, étonné de ne pas la voir se lever.
L'autopsie pointe un "traumatisme crânien", compatible avec le coup de pied de Jimmy, qui a reconnu les faits lors de sa garde à vue.

Selon le parquet, l'homme n'avait pas d'antécédent connus de violences sur Perrine MAIS, en réalité il est multirécidiviste. Il avait été 2 fois condamné et incarcéré pour des violences sur des précédentes compagnes. Selon le témoignage de l'une d'elles, il aurait été condamné en 2022 à 30 mois de prison pour des violences sur elle. Il était sorti il y a quelques mois et avait rencontré Perrine. Cette ex compagne avait également subi des menaces de représailles, en raison de son incarcération, qu'elle avait signalées à la Police.

Pourquoi la Justice cache t elle ces informations ?

Mercredi 16 avril, Jimmy Bloyet a été mis en examen pour "meurtre par conjoint", précise le parquet de Créteil et placé en détention provisoire. 

Perrine était mère de plusieurs enfants. 

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

25. Perrine

Battue à mort

Dimanche 13 avril à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Perrine (41 ans) est morte, dans son lit, des suites d'un coup de pied au visage porté la veille par Jimmy Bloyet, son compagnon (38 ans). L’homme a inventé une altercation avec les voisins pour justifier les marques sur le visage de la victime. Constatant son décès, il a alors pris la fuite mais a été interpellé peu après. Placé en garde à vue, il a été entendu plus tard en raison de son état d’ébriété et a reconnu avoir donné un coup de pied au visage de la victime la veille au soir.

Mercredi 9 avril à Saintes (Charente-Maritime), Agnès Quetier (46 ans) a été battue et étranglée à mort par son compagnon Michel de Carvalho (48 ans) dans leur appartement. L’homme a ensuite prévenu les secours vers 21h30 avant de prendre la fuite. Il s’est finalement présenté peu de temps après devant l’appartement et a été interpellé.Il avait déjà été condamné pour des violences conjugales sur une précédente compagne.  En garde à vue, il a avoué avoir tué Agnès #féminicide 

Le procureur de La Rochelle a indiqué que Michel de Carvalho est bien connu de la justice puisque son casier comporte 31 mentions dont une peine de 5 ans de prison ferme en 2014 pour violences conjugales sur une précédente compagne.
Interrogés, les voisins d’Agnès Quétier rapportent plusieurs scènes de violences conjugales dont une récente en février dans le hall de l’immeuble, précisant qu’ “il y avait du sang partout”.
L’homme devrait être déféré dans les prochaines heures afin d’être mis en examen.

Agnès Quetier était mère de 2 enfants.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

24. Agnès

Étranglée

Mercredi 9 avril à Saintes (Charente-Maritime), Agnès Quetier (46 ans) a été battue et étranglée à mort par son compagnon Michel de Carvalho (48 ans) dans leur appartement. L’homme a ensuite prévenu les secours vers 21h30 avant de prendre la fuite. Il s’est finalement présenté peu de temps après devant l’appartement et a été interpellé.Il avait déjà été condamné pour des violences conjugales sur une précédente compagne. En garde à vue, il a avoué avoir tué Agnès #féminicide

Dans la nuit du 22 au 23 janvier à Avenay-Val-d'Or (Marne) une femme (77 ans) a été tuée par son mari (82 ans) à son domicile.  L'homme a ensuite tenté de se suicider «en absorbant des médicaments».
Il a été découvert par une infirmière qui se rendait au domicile et a été hospitalisé en psychiatrie, a précisé le parquet. Il a été mis en examen pour «meurtre par conjoint»,  mardi 8 avril.
Cet assassin est LIBRE et seulement placé sous contrôle judiciaire. 

NON ce n'est pas "par amour" qu'un homme TUE, qu'il s'octroie un droit de disposer de la vie de sa compagne. Pour rappel, tuer sa compagne même âgée et malade est un #féminicide et ne doit pas demeurer impuni. C'est un véritable permis de tuer que la Justice Patriarcale adresse aux hommes violents, conjoints de femmes âgées et malades, dont ils refusent de supporter la charge ! 

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

23. XX

Étouffée

Dans la nuit du 22 au 23 janvier à Avenay-Val-d'Or (Marne) une femme (77 ans) a été étouffée par son mari (82 ans) à son domicile. L'homme a ensuite tenté de se suicider «en absorbant des médicaments».
Il a été découvert par une infirmière qui se rendait au domicile et a été hospitalisé en psychiatrie, a précisé le parquet.

Jeudi 6 février, au hameau des Pesquiès, à Villefranche-de-Rouergue (Aveyron), Dawn Kerr (56 ans) aurait été battue à mort, avec un objet tranchant et contondant, par son mari Andrew Searle (62 ans) à leur domicile. L’homme aurait ensuite maquillé la scène de crime en “cambriolage qui aurait mal tourné”, éparpillant des bijoux autour du corps de son épouse, retrouvée dénudée devant la porte d’entrée. Finalement, il aurait pris la décision de se suicider en se pendant à l’aide d’une corde attachée à un radiateur. D’abord considérée comme un cambriolage, puis comme un possible règlement de compte, l’enquête semble confirmer la piste “d’une meurtre suivi du suicide du mari” #féminicide

C’est un voisin du couple qui a fait la macabre découverte et a prévenu les secours. L’autopsie du couple a révélé que Dawn Kerr a été victime de coups violents tandis que le corps d’Andrew ne présente aucune marque ni signe d’une intervention extérieure. De plus, aucun bien de valeur ne semble avoir été volé, ce qui exclut la piste du cambriolage.
Refusant la thèse du féminicide, la presse britannique a largement évoqué la piste du règlement de compte, Andrew Searle ayant travaillé dans une brigade financière au sein d’un grand groupe. Cette piste a finalement aussi été écartée faute d’éléments probants. 

Jeudi 3 avril, la police a confirmé aux journalistes de la BBC la thèse du #féminicide suivi du suicide du mari, précisant qu’ils enquêtent encore sur la nature du mobile.

Dawn Kerr était mère de 2 enfants, issus d’une précédente union.
NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

22. Dawn

Battue à mort

Jeudi 6 février, au hameau des Pesquiès, à Villefranche-de-Rouergue (Aveyron), Dawn Kerr (56 ans) aurait été battue à mort, avec un objet tranchant et contondant, par son mari Andrew Searle (62 ans) à leur domicile. L’homme aurait ensuite maquillé la scène de crime en “cambriolage qui aurait mal tourné”, éparpillant des bijoux autour du corps de son épouse, retrouvée dénudée devant la porte d’entrée. Finalement, il aurait pris la décision de se suicider en se pendant à l’aide d’une corde attachée à un radiateur. D’abord considérée comme un cambriolage, puis comme un possible règlement de compte, l’enquête semble confirmer la piste “d’une meurtre suivi du suicide du mari” #féminicide

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