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Féminicides par compagnons ou ex publiés en mai 2025

Samedi 17 mai à Périgny près de La Rochelle (Charente-Maritime), alors que les pompiers ont été appelés pour l'incendie d'une habitation, le corps calciné d'une femme (quadragénaire) a été découvert dans le jardin, attaché par la taille à des palettes recouvertes d'un tas de bois. L'autopsie laisse supposer un décès antérieur à l’incendie et donc l'intervention d'un tiers.

Son compagnon (quinquagénaire) est soupçonné de l'avoir tuée, et d'avoir tenté de maquiller son crime.
Le couple occupait cette maison abandonnée depuis plusieurs années. Plusieurs témoins affirment avoir vu l'homme quitter précipitamment les lieux juste après le début de l'incendie. En fuite et activement recherché par la Police, il a été interpellé 3 jours plus tard dans la Creuse.
Une enquête pour meurtre est ouverte par le parquet de La Rochelle.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

Article de presse

32. XX

Brûlée

Samedi 17 mai à Périgny près de La Rochelle (Charente-Maritime), alors que les pompiers ont été appelés pour l'incendie d'une habitation, le corps calciné d'une femme (quadragénaire) a été découvert dans le jardin, attaché par la taille à des palettes recouvertes d'un tas de bois. L'autopsie laisse supposer un décès antérieur à l’incendie et donc l'intervention d'un tiers.

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Samedi 17 mai à Chasseneuil-du-Poitou (Vienne), Véronique (55 ans) a été tuée par son ex-compagnon (55 ans) dans la résidence où elle vivait. Son corps a été découvert sur le palier du 4ème étage. Rapidement les soupçons se sont portés sur son ex-conjoint dont elle venait de se séparer. L’homme a été interpellé à Saint-Georges-lès-Baillargeaux dans la maison familiale. Il a été mis en examen et écroué pour “homicide par conjoint” ce lundi 19 mai #féminicide

Se sentant menacée par ce dernier, Véronique avait fait une demande de Téléphone Grave Danger (TGD) qu’elle n’a pas reçu à temps. Interrogés, les voisins témoignent de l’emprise et de la peur dans laquelle elle vivait lorsqu’elle était encore en couple avec le meurtrier. Celui-ci l’avait isolée de ses proches et amis.

Le parquet ne souhaite pas communiquer davantage sur les blessures de Véronique ou si une arme a été utilisée #omerta

Véronique était mère de 3 enfants qui n’étaient pas présents au moment du crime.

NOUS LA CITONS,
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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

Article de presse

31. Véronique

Cause du décès inconnue

Samedi 17 mai à Chasseneuil-du-Poitou (Vienne), Véronique (55 ans) a été tuée par son ex-compagnon (55 ans) dans la résidence où elle vivait. Son corps a été découvert sur le palier du 4ème étage. Rapidement les soupçons se sont portés sur son ex-conjoint dont elle venait de se séparer. L’homme a été interpellé à Saint-Georges-lès-Baillargeaux dans la maison familiale. Il a été mis en examen et écroué pour “homicide par conjoint” ce lundi 19 mai #féminicide

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Samedi 17 mai à Quartier d’Orléans (Saint-Martin), situé côté français, Claire Pryce (quinquagénaire) a été battue à mort par son compagnon Raymond (quadragénaire) au domicile de ce dernier. L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Le procureur de la république a confirmé qu’une enquête pour “homicide” est ouverte #féminicide

L’habitation a été placée sous scellés et une autopsie de la victime a été ordonnée.
L’autopsie a révélé "de multiples coups sur tout le corps", explique la Procureure de la République. Ce sont les coups qui ont causé la mort de la victime.

Claire Pryce était née à Kingston en Jamaïque. Elle vivait du côté néerlandais de Saint-Martin depuis plusieurs années. Elle élevait seule son fils âgé de 15 ans et s'efforçait de se construire une nouvelle vie. L'adolescent n’était pas présent au moment des faits.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à son fils, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

Article de presse

30. Claire

Battue à mort

Samedi 17 mai à Quartier d’Orléans (Saint-Martin), situé côté français, Claire Pryce (quinquagénaire) a été battue à mort par son compagnon Raymond (quadragénaire) au domicile de ce dernier. L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Le procureur de la république a confirmé qu’une enquête pour “homicide” est ouverte #féminicide

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Lundi 12 mai à Chauffailles (Saône-et-Loire), Anzhela (55 ans) a été abattue, en pleine rue, avec une arme à feu par son ex-mari, Bruno Jandet (60 ans). Des témoins des coups de feu ont immédiatement prévenu les secours. Le meurtrier a ensuite pris la fuite avant d’être interpellé dans un bar à Pouilly-sous-Charlieu. L’arme du crime a été retrouvée dans son véhicule qui a été saisi.

Selon les premières informations, le couple était séparé et une procédure de divorcer était en cours. De plus, le parquet a précisé qu’une enquête pour “violences intrafamiliales ayant entraîné une incapacité totale de travail de moins de 8 jours” avait été menée par les gendarmes de Chauffailles en décembre 2024 suite à une plainte de la victime. L’ex-mari avait été placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son jugement par le tribunal correctionnel de Mâcon le 23 mai 2025 #justicelaxiste

Le parquet a ouvert une enquête pour “assassinat” #féminicide

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Article de presse

29. Anzhela

Abattue avec une arme à feu

Lundi 12 mai à Chauffailles (Saône-et-Loire), Anzhela (55 ans) a été abattue, en pleine rue, avec une arme à feu par son ex-mari, Bruno Jandet (60 ans). Des témoins des coups de feu ont immédiatement prévenu les secours. Le meurtrier a ensuite pris la fuite avant d’être interpellé dans un bar à Pouilly-sous-Charlieu. L’arme du crime a été retrouvée dans son véhicule qui a été saisi.

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Vendredi 9 mai à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), Céline Marcelin (45 ans) a été battue à mort par son compagnon, John (45 ans) à leur domicile. Elle lui avait annoncé vouloir le quitter. L'homme a ensuite prévenu l'un des deux enfants du couple, ce dernier a, à son tour, alerté une proche qui a contacté la police. A leur arrivée, le meurtrier aurait tenté de se pendre.

Selon les premières informations, la victime aurait été retrouvée défigurée, menottée, et avec du ruban adhésif autour du cou. Elle aurait également reçu un violent coup à la tête qui aurait entraîné un traumatisme crânien. Une autopsie est prévue ce samedi. Le compagnon a quant à lui été hospitalisé et placé en garde à vue. Le parquet a ouvert une enquête pour “meurtre par conjoint” #féminicide
L'homme était connu pour des violences conjugales (menaces), il avait fait l'objet d'un simple rappel à la loi en 2022.

Céline était mère de 2 enfants (12 et 15 ans) absents au moment des faits.
Aide soignante de formation, elle travaillait au centre hospitalier du Kremlin-Bicêtre.

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Article de presse

28. Céline

Battue à mort

Vendredi 9 mai à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), Céline Marcelin (45 ans) a été battue à mort par son compagnon, John (45 ans) à leur domicile. Elle lui avait annoncé vouloir le quitter. L'homme a ensuite prévenu l'un des deux enfants du couple, ce dernier a, à son tour, alerté une proche qui a contacté la police. A leur arrivée, le meurtrier aurait tenté de se pendre.

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Vendredi 2 mai à Pont-de-Beauvoisin (Isère), Nelissa (56 ans) a été ligotée, bâillonnée puis mortellement étranglée par son ex-mari, Gaëtan Girard (59 ans), à son domicile.
Il s'était rendu chez elle pour "discuter de leur divorce".
Prévenus, les secours n’ont pu que constater son décès à leur arrivée. L’ex-conjoint présent sur les lieux a été interpellé et placé en garde à vue. Il a été mis en examen pour “homicide par conjoint” #féminicide.

Le couple était séparé depuis 3 ans. #crimedepossession

Nelissa était mère de 2 grands enfants, un garçon qui vivait avec elle et une fille qui habite à Chambéry. Ouvrière dans le tissage, elle était originaire des Philippines où le reste de sa famille réside.

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27. Nelissa

Étranglée

Vendredi 2 mai à Pont-de-Beauvoisin (Isère), Nelissa (56 ans) a été a été ligotée, bâillonnée puis mortellement étranglée par son ex-mari, Gaëtan Girard (59 ans), à son domicile.
Il s'était rendu chez elle pour "discuter de leur divorce".
Prévenus, les secours n’ont pu que constater son décès à leur arrivée. L’ex-conjoint présent sur les lieux a été interpellé et placé en garde à vue. Il a été mis en examen pour “homicide par conjoint” #féminicide.
Le couple était séparé depuis 3 ans. #crimedepossession

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Jeudi 1er mai à Stains (Seine-Saint-Denis), Banassa Bamba (29 ans) a été poignardée à mort par son ex-compagnon, au domicile de ce dernier. La jeune femme, signalée disparue par ses proches au commissariat, a été géolocalisée grâce à son téléphone portable. Le co-locataire de son ex-compagnon aurait été interpellé puis libéré. Le meurtrier est actuellement en fuite.

A leur arrivée dans l’appartement, les policiers n’ont pu constater le décès de la victime. Le colocataire du meurtrier, placé en garde à vue dans un premier temps, a été rapidement relâché. Selon les premiers éléments de l’enquête son ex-compagnon la menaçait et lui faisait du chantage au suicide depuis leur rupture l’année dernière #crimedepossession

Le parquet a ouvert une enquête pour “homicide par ex-conjoint”, la piste du #féminicide est privilégiée.

Arrivée en France en 2020, Banassa venait d’obtenir son Master en sociologie à l’Université de Besançon. Elle s’était installée en région parisienne en 2024 et travaillait en CDI dans une association d’aide aux personnes âgées.

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Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

Article de presse

26. Banassa

Poignardée à mort

Jeudi 1er mai à Stains (Seine-Saint-Denis), Banassa Bamba (29 ans) a été poignardée à mort par son ex-compagnon, au domicile de ce dernier. La jeune femme, signalée disparue par ses proches au commissariat, a été géolocalisée grâce à son téléphone portable. Le co-locataire de son ex-compagnon aurait été interpellé puis libéré. Le meurtrier est actuellement en fuite.

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