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Féminicides par compagnons ou ex publiés en juillet 2025

Vendredi 11 juillet à Cossé-le-Vivien (Mayenne), une femme (30 ans) a été tuée par son compagnon (25 ans) à leur domicile. L’homme a été interpellé sur place. A l’issue de sa garde à vue, il a été mis en examen pour “homicide volontaire par conjoint” et a été écroué #féminicide A ce stade, le mode opératoire du meurtrier n’est pas connu et le parquet n’a pas souhaité communiquer davantage #OMERTA

Selon les voisins du couple, la victime, mère de famille, semblait isolée : Tellement discrète, que personne ne connaissait son prénom alors qu’elle vivait dans le quartier depuis 3 ans.

Elle était mère de 3 enfants.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

48. XX

Cause du décès inconnue

Vendredi 11 juillet à Cossé-le-Vivien (Mayenne), une femme (30 ans) a été tuée par son compagnon (25 ans) à leur domicile. L’homme a été interpellé sur place. A l’issue de sa garde à vue, il a été mis en examen pour “homicide volontaire par conjoint” et a été écroué #féminicide A ce stade, le mode opératoire du meurtrier n’est pas connu et le parquet n’a pas souhaité communiquer davantage #OMERTA

Jeudi 10 juillet à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône), Maryse (87 ans) a été abattue, avec un fusil de chasse et une arme de poing, par son mari (87 ans) à leur domicile. L’homme s’est ensuite suicidé en retournant une des armes contre lui. Dans un communiqué, le procureur s’est empressé de préciser que “le mobile qui relèverait d’une incapacité psychique pour le mari à supporter l’état de dégénérescence de son épouse". Le maire de la commune a ajouté que  “l’épouse souffrait de problèmes mentaux" et que "cet homme n’est pas un meurtrier” !

⛔ STOP A LA MINIMISATION DES FAITS ET LA DÉMAGOGIE ! Abattre sa femme comme du gibier, ce n’est ni un geste d’amour ni un geste de compassion ! C’est un #féminicide, un crime de possession où un homme s’octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne qui n’est plus en mesure de répondre à ses exigences !

Selon les premiers éléments de l’enquête, c’est un voisin, ayant entendu les coups de feu, qui a prévenu les secours. A leur arrivée, la victime était déjà décédée et présentait 2 impacts de balles, tandis que le meurtrier, grièvement blessé, gisait à ses côtés avec ses armes. Il est décédé sur place peu de temps après.

La victime, connue sur la commune, avait travaillé à la maison de l’agriculture pendant de nombreuses années.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

47. Maryse

Abattue avec un fusil et une arme de poing

Jeudi 10 juillet à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône), Maryse (87 ans) a été abattue, avec un fusil de chasse et une arme de poing, par son mari (87 ans) à leur domicile. L’homme s’est ensuite suicidé en retournant une des armes contre lui. Dans un communiqué, le procureur s’est empressé de préciser que “le mobile relèverait d’une incapacité psychique pour le mari à supporter l’état de dégénérescence de son épouse". Le maire de la commune a ajouté que “l’épouse souffrait de problèmes mentaux" et que "cet homme n’est pas un meurtrier” !

⛔ STOP A LA MINIMISATION DES FAITS ET LA DÉMAGOGIE ! Abattre sa femme comme du gibier, ce n’est ni un geste d’amour ni un geste de compassion ! C’est un #féminicide, un crime de possession où un homme s’octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne qui n’est plus en mesure de répondre à ses exigences !

Dans la nuit du mardi 8 au mercredi 9 juillet à Moulis-en-Médoc, une femme (43 ans) a été abattue, avec un fusil, par son ex-compagnon (36 ans). L’homme a ensuite jeté son corps en bordure d’une route de cette commune. Condamné pour des violences sur une compagne précédente en 2019, il a été immédiatement considéré comme le principal suspect. Interpellé peu de temps après à Ludon-Médoc, l’ex-conjoint avait l’arme du crime dans son véhicule.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime aurait entretenu une liaison avec son meurtrier durant 6 mois avant de rompre du fait de violences répétées à son encontre. Le jour du crime, il l’aurait également menacée par téléphone. Même si la victime n’avait pas (encore) porté plainte, l’homme était déjà connu de la justice, comme indiqué précédemment, avec une condamnation en 2019 à 1 an de prison dont 8 mois avec sursis pour violences conjugales sur une autre femme.

L’homme a été placé en garde à vue où il a reconnu les faits en évoquant un “tir accidentel”. Il a été déféré au parquet ce jeudi 10 juillet où il a été mis en examen pour “homicide volontaire par conjoint” #féminicide

La victime, domiciliée à Castelnau-de-Médoc, était mère de deux filles (17 et 25 ans) ainsi qu’un garçon (6 ans).

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

46. XX

Abattue avec un fusil

Dans la nuit du mardi 8 au mercredi 9 juillet à Moulis-en-Médoc, une femme (43 ans) a été abattue, avec un fusil, par son ex-compagnon (36 ans). L’homme a ensuite jeté son corps en bordure d’une route de cette commune. Condamné pour des violences sur une compagne précédente en 2019, il a été immédiatement considéré comme le principal suspect. Interpellé peu de temps après à Ludon-Médoc, l’ex-conjoint avait l’arme du crime dans son véhicule.

Lundi 7 juillet à Coulanges-lès-Nevers (Nièvre), Simone (90 ans) a été battue à mort, avec un marteau et un burin, par son mari Jean-Pierre Stantina (84 ans) à leur domicile. Son corps ensanglanté a été découvert dans son lit, tandis que son conjoint s’est suicidé après les faits. La procureure de la République confirme que la piste privilégiée est celle d'un "meurtre sur conjointe" suivi du suicide, "autolyse par pendaison” #féminicide

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme aurait prévenu les secours par téléphone avant de mettre fin à ses jours. A leur arrivée, la maison étant verrouillée, ces derniers sont passés par une fenêtre de l’habitation. 
Une autopsie des corps a été ordonnée.

Jeudi 10 juillet, venus au domicile avec les gendarmes pour récupérer les clefs, les enfants du couple ont constaté que la maison a été cambriolée malgré la pose de scellés et la présence de projections de sang sur les murs de la chambre à coucher.

Simone était mère de 4 enfants.

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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

45. Simone

Battue à mort à coups de marteau et burin

Lundi 7 juillet à Coulanges-lès-Nevers (Nièvre), Simone (90 ans) a été battue à mort, avec un marteau et un burin, par son mari Jean-Pierre Stantina (84 ans) à leur domicile. Son corps ensanglanté a été découvert dans son lit, tandis que son conjoint s’est suicidé après les faits. La procureure de la République confirme que la piste privilégiée est celle d'un "meurtre sur conjointe" suivi du suicide, "autolyse par pendaison” #féminicide

Mercredi 2 juillet à Morez (Jura), Maria Da Silva Cação (55 ans) a été abattue, avec une arme de poing en pleine rue, par son ex-compagnon (55 ans). C’est un des témoins de la scène qui a alerté les secours. L’homme a été interpellé sur place par les gendarmes.

Selon les éléments de l’enquête, l'homme a abattu la victime de 2 balles de revolver devant son domicile. Malgré l’intervention rapide des secours, celle-ci n’a pas pu être réanimée. Une cellule psychologique a été mise en place pour venir en aide aux passants et riverains choqués par les faits.
Maria était mère de 3 enfants. 


NOUS LA CITONS,
NOUS NE L'OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

44. Maria

Abattue avec une arme de poing

Mercredi 2 juillet à Morez (Jura), Maria Da Silva Cação (55 ans) a été abattue, avec une arme de poing en pleine rue, par son ex-compagnon (55 ans). C’est un des témoins de la scène qui a alerté les secours. L’homme a été interpellé sur place par les gendarmes.

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