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Féminicides par compagnons ou ex publiés en mars 2025

Dans la nuit de dimanche à lundi 24 mars à Limeyrat (Dordogne), une femme (38 ans) aurait été poignardée à mort par son ex compagnon (41 ans), il aurait également tué sa fille (13 ans) selon une source proche de l'enquête. L'homme, qui n'est par le père de l'enfant,  a lui même prévenu la gendarmerie.

NOUS LES CITONS,
NOUS NE LES OUBLIERONS PAS,
Nous pensons à leur famille, à leurs ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

20. XX

Poignardée à mort avec sa fille

Dans la nuit de dimanche à lundi 24 mars à Limeyrat (Dordogne), une femme (38 ans) aurait été poignardée à mort par son ex compagnon (41 ans), il aurait également tué sa fille (13 ans) selon une source proche de l'enquête. L'homme a lui même prévenu la gendarmerie.

Vendredi 21 mars à Bruay-sur-l'Escaut (Nord), Manon (29 ans) aurait été poignardée à mort par son compagnon en présence de ses 2 enfants âgés de 19 mois et 4 mois. Pour le moment, le seul élément donné par la presse est un témoignage du voisinage ayant aperçu l'homme quitter le logement avec les mains ensanglantées. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte pour "homicide volontaire par conjoint". 
Samedi soir, selon le média Hainaut TV,  "sa garde à vue a été annulée car son état de santé n'était pas jugé compatible avec les conditions de détention. Il a donc été admis en service psychiatrique."

Les enfants ont été confiés aux services sociaux.

NOUS LA CITONS,
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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

19. Manon

Poignardée à mort

Vendredi 21 mars à Bruay-sur-l'Escaut (Nord), Manon (29 ans) aurait été poignardée à mort par son compagnon en présence de ses 2 enfants âgés de 19 mois et 4 mois. Pour le moment, le seul élément donné par la presse est un témoignage du voisinage ayant aperçu l'homme quitter le logement avec les mains ensanglantées.

Jeudi 13 mars à Aizenay (Vendée), Christelle François (54 ans) a été battue à mort par son ex-compagnon (52 ans) à son domicile. L’homme a ensuite mis feu au corps de Christelle avant de prendre la fuite. Ce sont des collègues de celle-ci, inquiètes de ne pas avoir de nouvelles, qui ont prévenu les secours. L’enquête s’est rapidement orientée vers un “assassinat” avec l’interpellation de l’ex-conjoint. Ce dernier vient de reconnaître les faits lors de sa mise en examen ce jeudi 20 mars devant un juge d'instruction #féminicide

Lors de la découverte du corps de Christelle, les enquêteurs ont également relevé des traces de sang dans l’habitation et l’autopsie a révélé des lésions bien que le corps soit en partie calciné. Rapidement, l’entourage de Christelle a été auditionné et son ex-compagnon placé en garde à vue. Dans la nuit du mercredi 19 au jeudi 20 mars, ce dernier a fini par reconnaître une partie des faits. Il a avoué avoir été présent au domicile le jour du crime et avoir violenté Christelle.

Présenté ce jour à un juge d’instruction, il a été mis en examen pour “homicide volontaire par ex-concubin”, son placement en détention a également été requis.

Christelle était mère d’une fille et également grand-mère. Elle était également employée depuis plus de 30 ans chez Variance Technologies, en qualité d’opératrice polyvalente. 

NOUS LA CITONS,
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Nous pensons à sa fille, à son petit-fils, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

18. Christelle

Battue et brûlée

Jeudi 13 mars à Aizenay (Vendée), Christelle François (54 ans) a été battue à mort par son ex-compagnon (52 ans) à son domicile. L’homme a ensuite mis feu au corps de Christelle avant de prendre la fuite. Ce sont des collègues de celle-ci, inquiètes de ne pas avoir de nouvelles, qui ont prévenu les secours. L’enquête s’est rapidement orientée vers un “assassinat” avec l’interpellation de l’ex-conjoint. Ce dernier vient de reconnaître les faits lors de sa mise en examen ce jeudi 20 mars devant un juge d'instruction #féminicide

Jeudi 13 mars à Maurepas (Yvelines),  Rim Babachi (42 ans) a été poignardée à mort par son mari, Ali Trabelsi (61 ans), à leur domicile. L'homme a tout d'abord prétendu avoir découvert le corps de son épouse à son retour d'une sortie avec ses enfants. Il a immédiatement avancé la thèse du "cambriolage qui a mal tourné". Mais les premières investigations n'ont pas permis de démontrer que quelque chose avait été volé dans l'appartement. Des contradictions dans son récit ont conduit les enquêteurs à soupçonner le mari. L'homme nie les faits et a seulement reconnu que son épouse lui avait annoncé la veille vouloir demander le divorce et qu'une "dispute" avait éclaté. 
Un témoin de son entourage l'aurait entendu dire : « Si elle me quitte, je la tue. »
Il est mis en examen pour "meurtre par conjoint".
Elle était mère de 3 enfants, un garçon âgé de 17 et deux filles âgées de 10 et 5 ans. Ils ont été pris en charge dans le cadre du protocole #féminicide puis confiés à des membres de la famille.

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17. Rim

Poignardée à mort

Jeudi 13 mars à Maurepas (Yvelines), Rim Babachi (42 ans) a été poignardée à mort par son mari, Ali Trabelsi (61 ans), à leur domicile. L'homme a tout d'abord prétendu avoir découvert le corps de son épouse à son retour d'une sortie avec ses enfants. Il a immédiatement avancé la thèse du "cambriolage qui a mal tourné". Mais les premières investigations n'ont pas permis de démontrer que quelque chose avait été volé dans l'appartement.

Dimanche 2 mars à Marseille (Bouches-du-Rhône) une femme (33 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (49 ans) à son domicile, puis il a pris la fuite. C'est le frère de la victime qui a donné l'alerte. Malgré plusieurs tentatives de réanimation elle n'a pas survécu à ses graves blessures. 
Le protocole #féminicide a été déclenché pour la prise en charge des enfants mineurs de la victime. 
Durant sa fuite, le meurtrier a été aperçu les vêtements ensanglantés. 
Son interpellation a pu avoir avoir lieu 2 jours plus tard grâce à la téléphonie. 
Le parquet de Marseille ne souhaite pas communiquer sur le profil du suspect #omerta, mais a confirmé à nos sources sa mise en examen du chef de "meurtre aggravé sur conjoint" #féminicide et son placement en détention.

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16. XX

Poignardée à mort

Dimanche 2 mars à Marseille (Bouches-du-Rhône) une femme (33 ans) a été poignardée à mort par son compagnon (49 ans) puis il a pris la fuite. C'est le frère de la victime qui a donné l'alerte. Malgré plusieurs tentatives de réanimation elle n'a pas survécu à ses graves blessures.

Jeudi 20 février à Hayange (Moselle), Alexandra Luca (27 ans) a été poignardée à 14 reprises par Iordan N. (39 ans), un ex-compagnon de la jeune femme. Malgré l’intervention d’un témoin (50 ans) qui s’est interposé et qui a aussi été poignardé, l’ex-conjoint a lacéré le visage et le cou de la victime devant un supermarché. Prise en charge par les secours en urgence absolue, Alexandra a été plongée dans un coma artificiel avant de succomber ce dimanche 9 mars à l’hôpital. Elle avait porté plainte plusieurs fois mais la Justice ne l’a pas prise au sérieux et les dossiers ont été classés “sans suite” #JusticeComplice

Selon plusieurs témoins, l’ex-compagnon surveillait l’arrivée d’Alexandra depuis le toit du supermarché avant de l’agresser sous le regard de nombreux passants. Il a ensuite pris la fuite et a rejoint l’Italie en train. Visé par un mandat d’arrêt international, il aurait fini par se rendre dans un poste de police à Milan (Italie) où il a été immédiatement interpellé après 24h de cavale.

Samedi 22 février, le parquet de Metz avait confirmé l’ouverture d’une enquête pour “tentative d’homicide par conjoint” concernant Alexandra et une enquête pour “violences avec arme ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours” concernant le témoin qui s’est interposé.

Le décès d’Alexandra Luca, ce dimanche 9 mars, a entraîné une requalification des faits en “homicide par conjoint” #feminicide. L’ex-compagnon, extradé d'Italie, a été mis en examen et écroué le même jour.

Alexandra et Iordan avaient entretenu une relation l’été dernier. L’homme n’acceptait pas la séparation. La jeune femme avait porté plainte en septembre 2024 pour des menaces et violences mais le dossier avait été classé sans suite. Après avoir reçu plusieurs coups au visage quelques temps plus tard, Alexandra a de nouveau porté plainte au mois de janvier 2025. Sa plainte est ENCORE UNE FOIS restée sans suite puisque Iordan était introuvable jusqu’au jour de l’agression #crimedepossession

Alexandra était mère de plusieurs enfants.
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15. Alexandra

Poignardée à mort

Jeudi 20 février à Hayange (Moselle), Alexandra Luca (27 ans) a été poignardée à 14 reprises par Iordan N. (39 ans), un ex-compagnon de la jeune femme. Malgré l’intervention d’un témoin (50 ans) qui s’est interposé et qui a aussi été poignardé, l’ex-conjoint a lacéré le visage et le cou de la victime devant un supermarché. Prise en charge par les secours en urgence absolue, Alexandra a été plongée dans un coma artificiel avant de succomber ce dimanche 9 mars à l’hôpital. Elle avait porté plainte plusieurs fois mais la Justice ne l’a pas prise au sérieux et les dossiers ont été classés “sans suite” #JusticeComplice

Dimanche 9 mars à Etain (Meuse), une femme (septuagénaire) a été abattue, d'une balle dans la nuque, par son mari (septuagénaire) à leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme. Ce sont des voisins, alertés par les bruits de tir, qui ont prévenu les secours.

A leur arrivée, les gendarmes n’ont pu que constater le décès du couple. La procureure de la République de Verdun indique que “les premières investigations laissent supposer que la femme a été tuée par son conjoint, qui s’est ensuite donné la mort”. Ce dernier aurait laissé des lettres pour avouer son crime, prétextant que son épouse était malade et qu’IL ne supportait pas cette situation.

Pour rappel, ni l’âge ni la maladie ne sont des justifications pour abattre sa femme comme du gibier ! Il n’y a ni amour, ni compassion, c’est un féminicide, un crime de possession où un homme s’octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne ! 

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14. XX

Abattue avec une arme à feu

Dimanche 9 mars à Etain (Meuse), une femme (septuagénaire) a été abattue, d'une balle dans la nuque, par son mari (septuagénaire) à leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme. Ce sont des voisins, alertés par les bruits de tir, qui ont prévenu les secours.

Dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 mars à Saint-Denis (La Réunion), Salma Boinali (30 ans) a été battue puis défenestrée, du quatrième étage de son immeuble, par son compagnon Stéphane O. (49 ans). Ce dernier, ancien policier, aurait tenté de maquiller la scène de crime avant de prendre la fuite.

C’est un résident de l’immeuble qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours. Les enquêteurs ont dans un premier temps envisagé la piste de la “chute mortelle” avant de relever des marques de coups sur le corps de la jeune femme. Par ailleurs, celle-ci étant partiellement dénudée, l’enquête a alors basculé vers la piste criminelle.
L’autopsie réalisée le même jour a confirmé l’intervention d’un tiers dans la mort de Salma.

Vendredi 7 mars, les enquêteurs ont interpellé Stéphane O, un ancien policier de Saint-André (La Réunion) déjà connu de la Justice pour avoir été condamné, en décembre 2022, à 1 an de prison ferme (aménagé sous bracelet électronique) pour trafic de stupéfiants. Devenu chef d’entreprise, ce dernier entretenait une relation avec Salma. L’homme aurait reconnu avoir passé la soirée avec elle, avant “de s’absenter” pendant peu de temps avant sa “chute”. Il n’aurait que pu constater son décès avant d’effacer les traces de sa présence dans l’appartement.

Même s’il a nié le crime, ses explications n'ont pas convaincu le parquet de Saint-Denis qui a requis sa mise en examen pour “meurtre par conjoint et modification d’une scène de crime” #féminicide
A l’issue de la garde à vue, le juge d’instruction a suivi les réquisitions du parquet et a confirmé la mise en examen de Stéphane O. avec un placement immédiat en détention.

Salma était serveuse au Carré KT-Dral, mais aussi chanteuse connue localement depuis de nombreuses années. Ses proches ont marché en sa mémoire lors de la manifestation du 8 mars 2025.

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13. Salma

Battue puis défenestrée

Dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 mars à Saint-Denis (La Réunion), Salma Boinali (30 ans) a été battue puis défenestrée, du quatrième étage de son immeuble, par son compagnon Stéphane O. (49 ans). Ce dernier, ancien policier, aurait pris soin de maquiller la scène de crime avant de prendre la fuite.

Mercredi 26 février à Charleville-Mézières (Ardennes), une femme (22 ans) et son bébé (15 mois) ont été découverts, assassinés, dans une friche industrielle. Une enquête pour homicide volontaire et homicide volontaire sur un mineur de moins de 15 ans a été ouverte, débouchant sur l'interpellation de l'ex-compagnon (20 ans) de la jeune femme le mercredi 5 mars. Ce dernier a reconnu le #féminicide mais nie avoir tué l'enfant dont il ne serait pas le géniteur selon ses aveux.

Ce sont des passionnés d’Urbex qui ont fait la macabre découverte la semaine dernière dans l’ancienne friche. Les premières investigations ont conduit les enquêteurs dans un appartement à proximité qui serait la scène de crime. Ce n’est qu’une semaine plus tard que l’affaire a rebondi avec l’interpellation du meurtrier, avec l’appui du RAID. Ce dernier s’était réfugié chez sa mère à Pluffugan (Finistère).  
L'enquête révèle que les victimes auraient été tuées en septembre 2024. Le meurtrier a ensuite dissimulé les corps dans une cave de la résidence, puis dans un conteneur à poubelles qu'il a ensuite déplacé.
Il a été mis en examen pour "meurtre sur conjoint", "meurtre sur mineur de 15 ans" et "modification de scène de crime". Placé en détention provisoire, il encourt la réclusion criminelle à perpétuité

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12. XX

Tuée avec son bébé de 9 mois

Mercredi 26 février à Charleville-Mézières (Ardennes), une femme (22 ans) et son bébé (15 mois) ont été découverts, assassinés, dans une friche industrielle. Une enquête pour homicide volontaire et homicide volontaire sur un mineur de moins de 15 ans a été ouverte, débouchant sur l'interpellation de l'ex-compagnon (20 ans) de la jeune femme le mercredi 5 mars. Ce dernier a reconnu le #féminicide mais nie avoir tué l'enfant dont il ne serait pas le géniteur selon ses aveux.

Samedi 1er mars à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), une femme (60 ans) a été mortellement poignardée par son mari (sexagénaire) en pleine rue. Ce dernier a pris la fuite alors que leur fils (37 ans) a tenté de porter secours à sa mère. Le couple était séparé mais non divorcé depuis 12 ans, l’homme était revenu d’Arménie, espérant “renouer avec elle” #crimedepossession

Le corps de la victime se trouvait à proximité d’une voiture ouverte, l’arme du crime, un couteau, a été retrouvé sur place. Le mari a été interpellé le même jour à Maisons-Alfort alors qu’il tentait encore de s’enfuir avec une valise. Placé en garde à vue, il a nié les faits.
L’autopsie de la victime indique qu’elle a été poignardée à 6 reprises et présentait aussi une possible blessure de défense au bras gauche.

Mardi 4 mars, le parquet de Créteil confirme que l’homme a été mis en examen pour “assassinat”, son placement en détention a été requis.

La victime était mère de 3 enfants.

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Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifféren

11. XX

Poignardée à mort

Samedi 1er mars à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), une femme (60 ans) a été mortellement poignardée par son mari (sexagénaire) en pleine rue. Ce dernier a pris la fuite alors que leur fils (37 ans) a tenté de porter secours à sa mère. Le couple était séparé mais non divorcé depuis 12 ans, l’homme était revenu d’Arménie, espérant “renouer avec elle” #crimedepossession

Vendredi 28 février à Changis-sur-Marne (Seine-et-Marne), Josette (79 ans) a été abattue avec un pistolet par son mari, Lhacene (86 ans) puis il a tenté de se suicider. Alertés, les pompiers sont intervenus et ont découvert le corps de la victime, et le meurtrier toujours en vie. L'homme a avoué son crime. Il a été hospitalisé et son état a été stabilisé. Une enquête est ouverte pour féminicide suivi d’une tentative de suicide. 
Selon les voisins, Josette ne sortait jamais seule, le couple semblait n’avoir aucune vie sociale. L'homme est décrit comme possessif, jaloux. Elle avait décidé de le quitter et devait emménager dans un nouveau logement en mars.
Il l'a tuée dans son lit, de deux balles dans la tête tirées à bout touchant. 

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Nous pensons à sa famille, à ses ami-e-s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces crimes machistes perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !

10. Josette

Abattue avec un pistolet

Vendredi 28 février à Changis-sur-Marne (Seine-et-Marne), Josette (79 ans) a été abattue avec un pistolet par son mari, Lhacene (86 ans) puis il a tenté de se suicider. Alertés, les pompiers sont intervenus et ont découvert le corps de la victime, et le meurtrier toujours en vie.

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